Votre bien-être par les Fleurs de Bach et le Coaching Holistique

Surmonter le deuil grâce à un coaching holistique personnalisé

Le deuil et la perte font partie de toute biographie. Nous entendons souvent parler de la nécessité de se séparer de la personne décédée, mais c'est précisément ce que nous ne voulons pas. Les personnes en deuil se sentent alors incomprises, car elles ne veulent pas perdre une deuxième fois l'être aimé. Mais alors, comment gérer la douleur et la profonde nostalgie ?
Photo illustrant une femme endeuillée, habillée en noir, devant une tombe.

Quelles sont les étapes d'un deuil ?

Le deuil est un processus complexe et individuel, qui ne suit pas nécessairement un ordre précis. Cependant, le modèle des cinq étapes du deuil proposé par Elisabeth Kübler-Ross (déni, colère, négociation, dépression, acceptation) reste un outil utile pour comprendre les différentes émotions que l’on peut traverser. Il est important de noter que ces étapes ne sont pas des cases à cocher, et que l’on peut revenir en arrière ou vivre certaines étapes de manière plus intense que d’autres. Chacun exprime son deuil à sa manière, et il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de le faire.

Quelle est la durée d'un deuil ?

Il n’existe pas de réponse unique à cette question. La durée du deuil est variable et dépend de nombreux facteurs, tels que la nature de la relation avec la personne décédée, les circonstances du décès, le soutien social, ou encore la personnalité de chacun. Certains deuils se résolvent en quelques mois, tandis que d’autres peuvent s’étendre sur plusieurs années. Il est important de ne pas se mettre de pression et de se laisser le temps nécessaire pour traverser cette épreuve.

Chaque deuil est unique

Les pertes graves, inattendues ou même traumatisantes constituent également un défi pour l’accompagnement du deuil et le coaching spirituel holistique. Dans ce contexte, le processus de deuil est extraordinairement individuel et unique pour chaque personne dans son vécu. La réaction immédiate au deuil peut être comprise comme une expérience douloureuse en réaction à une situation insoluble. L’expérience personnelle peut être perçue comme un engourdissement, une paralysie ou comme un cauchemar surréaliste. L’intensité du chagrin est coupée par protection. Lorsque la douleur fait régulièrement irruption ou qu’elle peut être admise plus tard, de nombreuses personnes en deuil la décrivent comme une expérience physique intense. En outre, les souvenirs de détails infimes liés à l’agonie et à la mort de l’être aimé peuvent nous submerger. Les personnes endeuillées peuvent également ressentir une distorsion du temps, souvent à la fois ralenti et accéléré. Dans la douleur aiguë du deuil, les personnes endeuillées se vivent souvent comme un petit enfant qui se sent impuissant et démuni.

Le choc émotionnel après le décès d'un proche

La perte d’un être cher provoque un choc émotionnel intense. Les réactions sont multiples et variées, nous allons les détailler ci-dessous.

La tristesse profonde

La tristesse est l’émotion la plus couramment associée au deuil. Elle se manifeste par une profonde mélancolie, un sentiment de vide et de désespoir. La personne endeuillée peut éprouver un besoin constant de pleurer et avoir du mal à trouver du réconfort. Cette tristesse peut être si intense qu’elle peut affecter toutes les sphères de la vie : sommeil, appétit, relations sociales…

La colère

La colère est une émotion souvent présente dans le deuil, mais qui peut être difficile à exprimer ou à reconnaître. Elle peut s’adresser à la personne décédée, à soi-même, à la vie, à Dieu… Cette colère peut se manifester de différentes manières : irritabilité, agressivité, ressentiment, désir de vengeance. Il est important de ne pas refouler cette colère, mais de trouver des moyens sains de l’exprimer.

La culpabilité

La culpabilité peut également envahir les personnes endeuillées. Elles peuvent se reprocher de ne pas avoir assez fait pour la personne décédée, de ne pas avoir passé suffisamment de temps avec elle, ou encore de ressentir un certain soulagement. Cette culpabilité peut être exacerbée par des « si » et des « pourquoi ». Il est important de comprendre que la culpabilité est souvent irrationnelle et qu’elle ne sert qu’à augmenter la souffrance.

Le sentiment d'injustice

Le sentiment d’injustice est particulièrement présent lorsque le décès est prématuré ou brutal. La personne endeuillée peut se demander pourquoi c’est à elle que cela arrive, et ressentir une profonde amertume. Ce sentiment d’injustice peut être difficile à accepter, mais il est important de le reconnaître et de l’exprimer.

Photo illustrant une tombe, pour l'article de blog sur le deuil.

Comment le corps réagit-il après un deuil ?

Le corps, souvent oublié dans le processus de deuil, porte en lui les traces de la douleur et de la tristesse. Les tensions musculaires, les troubles du sommeil ou encore les difficultés digestives sont autant de signaux que notre corps envoie. Pour libérer ces émotions retenues, les pratiques corporelles sont d’une grande aide. Le yoga, par exemple, permet d’étirer les muscles tendus, de favoriser la respiration profonde et de calmer l’esprit. La méditation, quant à elle, offre un espace pour observer ses pensées et ses émotions sans jugement. Des exercices simples comme la respiration consciente ou la visualisation peuvent également aider à apaiser le corps et l’esprit.

Comment libérer le deuil du corps ?

Le corps porte les traces de la douleur émotionnelle. Pour favoriser la libération de ces tensions, les pratiques corporelles sont précieuses. Le yoga, par exemple, permet d’étirer les muscles tendus, de favoriser une respiration profonde et de calmer l’esprit. La méditation offre un espace pour observer ses émotions sans jugement. Des techniques simples comme la respiration consciente ou la visualisation peuvent également aider à apaiser le corps et l’esprit. En outre, des thérapies corporelles comme le massage ou la sophrologie peuvent être bénéfiques pour libérer les blocages physiques et émotionnels.

Comment surmonter le deuil brutal ?

Un deuil brutal, lié à un décès soudain ou accidentel, peut être particulièrement difficile à vivre. Le choc émotionnel est souvent intense et peut entraîner des symptômes de stress post-traumatique. Il est important de se faire accompagner par un professionnel de santé mentale pour traverser cette épreuve. Des groupes de soutien peuvent également être une source d’aide précieuse, permettant de partager son expérience avec d’autres personnes confrontées à une situation similaire.

Comment ne plus être triste après un décès ?

​​Il est important de comprendre que le deuil n’est pas une maladie qu’il faut guérir, mais plutôt une réaction normale à une perte. Il est illusoire de penser que l’on pourra un jour ne plus être triste. Cependant, avec le temps et l’aide nécessaire, il est possible d’apprendre à vivre avec cette tristesse et à lui faire une place dans sa vie. Le but n’est pas d’oublier la personne décédée, mais de trouver un nouvel équilibre et de continuer à avancer.

Vous avez perdu un proche récemment et ne parvenez pas à surmonter le deuil ?

Cliquez ci-dessous, je suis là pour vous accompagner.

Quels sont les symptômes d'un deuil non fait ?

Un deuil non fait peut se manifester de différentes manières, tant sur le plan physique que psychologique. Parmi les symptômes les plus courants, on peut citer : des difficultés à dormir ou à se concentrer, une perte d’appétit ou au contraire une suralimentation, une sensation de vide intérieur, une culpabilité ou colère, des troubles anxieux ou dépressifs, des difficultés relationnelles, ou encore une évitement des lieux ou des situations qui rappellent la personne décédée.

Comment savoir si l'on a fait son deuil ?

Il n’existe pas de réponse unique à cette question, car chaque deuil est unique. Cependant, on peut considérer qu’on a progressé dans son processus de deuil lorsque l’on parvient à retrouver un certain équilibre émotionnel, à reprendre goût à la vie, et à intégrer la perte dans sa vie. Il est important de noter que le deuil n’est pas une fin en soi, mais plutôt une transformation.

Photo d'une bougie enflammée, symbolisant le fait de surmonter le deuil d'un proche.

En quoi un coaching holistique aide à surmonter le deuil ?

Réussir à laisser partir le proche décédé

Notre société, basée sur l’adaptation et la rapidité, repousse très rapidement les personnes en deuil dans le fonctionnement quotidien. Dans de nombreuses sociétés traditionnelles, on parle d’une « année de deuil », qui est considérée comme une période de deuil appropriée. Le deuil, en tant que réaction appropriée à une perte, se heurte à une certaine structure de la personnalité, avec ses propres antécédents de pertes et d’expériences d’attachement antérieures. Ainsi, les personnes endeuillées se sentent poussées, après une période de deuil considérée comme appropriée par la société, à se détourner de la perte et à se tourner vers la vie future sans le défunt. Pourtant, c’est précisément à ce moment-là que les personnes endeuillées développent une résistance intérieure à l’idée de « lâcher » le proche disparu. C’est comme si la personne devait partir une deuxième fois. Et ce, dans certains cas traumatisants, alors même que le deuil n’a pas encore pu se développer de manière adéquate en raison du choc ou de la négation.

Repenser la relation intérieure avec le proche décédé

Le changement de la relation intérieure avec le défunt est au cœur du coaching. Le maintien d’un lien intérieur est perçu comme particulièrement utile par les personnes endeuillées. D’un autre point de vue, le proche disparu reste ainsi une partie du système dans le processus de deuil. Comme tous les sentiments, le deuil se développe dans un contexte relationnel. Le deuil, comme la colère par exemple, est le signe d’un dysfonctionnement relationnel, mais du dysfonctionnement le plus fondamental et le plus grave, à savoir la rupture du lien par l’absence définitive d’un partenaire relationnel. Pourtant, comme tous les sentiments relationnels, la tristesse veut « réparer » le trouble relationnel. Mais la réalité de la mort, en tant que réalité concrète et physique, l’en empêche. C’est pourquoi le deuil cherche des moyens de trouver une nouvelle forme de lien.
La demande bien connue faite aux personnes endeuillées de laisser partir le mort se heurte non seulement à une certaine résistance de leur part, mais n’est pas non plus admissible telle quelle. C’est pourquoi les personnes endeuillées ne peuvent et ne veulent pas répondre à cette invitation. La phrase « Le défunt n’existe plus » ressemble structurellement à la phrase « La couleur rouge n’existe pas ». Pour réaliser cette phrase, il est nécessaire d’imaginer ce qui est nié. Pour que je puisse me débarrasser de lui, je dois donc le faire venir à moi. Ce paradoxe nous conduit, nous et notre imagination, à la limite du concevable. Le cerveau pourrait « au mieux » oublier l’être aimé, mais ce serait aller à l’encontre de notre loyauté. C’est là que les prières pour les défunts, les méditations sont une bonne aide.
Tout ce qui est pensé, ressenti et fait dans la relation avec le proche disparu présuppose sa représentation intérieure. C’est pourquoi les personnes en deuil portent également en elles des imaginaires sous forme de souvenirs, d’images intérieures, mais aussi de sensations corporelles. Le travail relationnel avec ces représentations internes est au cœur du mécanisme de deuil. L’endeuillé fait alors l’expérience de deux pôles dans sa réaction de deuil, qui ne pourraient pas être plus opposés :

  • Prendre progressivement conscience de la réalité de la mort et de l’absence extérieure de l’être aimé et l’accepter comme inéluctable,
  • La réorganisation de la relation intérieure avec l’être aimé. Un sentiment de relation et de proximité inconnu et fort avec le proche disparu demande à être intégré comme représentation intérieure.

Le travail de réalisation et le travail relationnel sont donc les deux processus centraux du deuil. La tâche du coaching holistique est de pouvoir offrir une structure utile pour l’orientation et la stabilisation.

Le processus de deuil comme travail de réalisation douloureux

Cette partie du travail de deuil est une tâche imposée par la mort de l’être aimé, elle est douloureuse et inéluctable. Les sentiments de deuil eux-mêmes sont des marqueurs internes de la perte. L’association du ressenti de ces émotions douloureuses ne reflète pas seulement l’expérience de la réalité de la perte, mais aussi l’amour et la loyauté envers le proche disparu lui-même. Les personnes endeuillées sont sans cesse invitées par la réalité extérieure à réaliser cette même réalité. Cette confrontation forcée a lieu d’une part lors des nombreuses interactions autour de la mort du proche avec les médecins, les pompes funèbres, les autorités compétentes, les funérailles ou l’assemblée endeuillée, mais aussi, par la suite, dans un quotidien modifié sans le défunt.
Au début de la situation de deuil aigu, la douleur liée à la perte est souvent très intense, souvent teintée de reproches, d’agressivité ou de désespoir et d’impuissance. L’inconsolabilité fait également partie de cette douleur initiale. Il est important de laisser s’exprimer les sentiments d’angoisse pour que les endeuillés ne se figent pas sous le choc et ne bloquent pas leur deuil très tôt. D’autre part, il est nécessaire de limiter et de mettre fin au sentiment de tristesse apparemment illimités et infinis afin de protéger les endeuillés d’un éventuel débordement émotionnel et d’une déstabilisation. Plus tôt les personnes endeuillées apprennent à gérer leurs sentiments de manière autorisée et limitée, plus elles font l’expérience de leur propre compétence. La réaction de deuil se compose d’aspects émotionnels très différents. Il est important de différencier les sentiments de deuil et d’en percevoir les différents aspects. Selon le moment, le vécu du deuil peut prendre des facettes de perte, d’horreur, de non-compréhension, d’impuissance et de paralysie, de vide, de colère, de culpabilité et bien d’autres encore.
En tant que partie du travail de réalisation, la psychothérapie reprend les aspects émotionnels exprimés, les perçoit, les ressent, les apprécie, les structure et les traite pas à pas. Ce faisant, le deuil lui-même a toujours une fonction relationnelle communicative, qui ne met pas simplement fin au système relationnel avec l’être aimé, mais le réorganise et l’adapte aux nouvelles conditions. Le deuil est donc bien plus qu’une simple motion d’adieu et d’abandon. En ce sens, le deuil est l’expression d’un amour douloureux qui veut continuer à vivre et qui ne peut plus le réaliser sous sa forme actuelle. Les autres sentiments du deuil peuvent également être appréciés comme une expression de l’amour. Ainsi, la douleur de la perte peut être comprise comme une blessure d’amour, la colère comme une indignation d’amour et l’impuissance comme une impuissance d’amour.

Le travail de deuil en tant qu'organisation créative de la nouvelle relation avec le défunt

La perte d’un être cher touche les personnes endeuillées au cœur du lien émotionnel qui les unit à lui. Souvent, le proche décédé laisse un vide non seulement à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur. Parallèlement à cette expérience, les personnes endeuillées font immédiatement des efforts intenses pour réinternaliser le proche disparu. Des vidéos, des photos ou d’autres souvenirs sont recherchés. Lorsque les personnes endeuillées vont dans leurs souvenirs, elles vivent cela comme une rencontre interne dans laquelle l’être aimé leur est proche. En psychothérapie, le travail sur les souvenirs est donc un élément central pour renforcer et réorganiser le lien avec le défunt. Il est toutefois essentiel de travailler au début avec des souvenirs émotionnellement agréables. Les souvenirs pénibles ou traumatisants du proche disparu sont, comme dans la thérapie des traumatismes, placés dans un endroit salutaire. Indépendamment de ce lieu, il est également important de lui trouver un endroit sûr.
La question de savoir où se trouve le proche disparu est généralement une question existentielle pour les personnes en deuil. Elle détermine également si et comment une relation intérieure avec lui peut être poursuivie. C’est pourquoi le concept de lieu sûr pour le défunt est un élément essentiel d’une compréhension systématique du deuil, axée sur la relation. Les personnes en deuil ne peuvent et ne veulent pas s’imaginer que leur proche n’existe plus du tout. Ils veulent plutôt accepter et ressentir que le proche disparu existe dans une autre manière d’être, dans un autre lieu. Ce besoin d’un lieu sûr se manifeste également dans presque toutes les religions et cultures. Le processus de deuil peut également être compris comme un processus de recherche de ce lieu sûr. Pour certains, le chemin est long, pour d’autres, l’idée d’un lieu sûr ne leur parle pas vraiment. Mais une fois que l’on a réussi à trouver un lieu sûr, sécurisant et salutaire pour le proche disparu, il est possible de ressentir à nouveau une certaine sécurité émotionnelle. Le lieu sûr peut être un lieu physiquement existant (par exemple la tombe, le lieu d’un accident ou un endroit dans la forêt) ou un lieu imaginaire, intérieur. Grâce à l’installation du lieu sûr, les personnes endeuillées ne doivent pas « lâcher » leur proche décédé, mais peuvent le « laisser » dans ce lieu.
La relation intérieure avec le proche récemment disparu peut maintenant être vécue à nouveau. La personne endeuillée peut lui rendre visite de manière imaginaire dans son lieu sûr et finalement revenir dans sa vie. Par la suite, il s’agit de vivre et d’intégrer le lien avec lui dans les conditions de la vie quotidienne.
Les thèmes importants sont les suivants :

  • L’intégration du dialogue interne avec le défunt dans la vie quotidienne,
  • La conception et l’intégration de rituels relationnels (par exemple, entretien de la tombe, bougie commémorative, etc),
  • L’organisation de journées du souvenir et de commémoration (par ex. messe commémorative, visite de tombe, etc).

Certaines personnes en deuil vivent et comprennent le défunt comme une personne réelle, qu’elles vivent certes comme interne, mais à laquelle elles attribuent néanmoins une existence réelle (par exemple une réalité spirituelle). D’autres le comprennent comme une représentation interne. Dans les deux cas, le nouveau lien avec le proche disparu peut être vécue intensément. Comme dans toute relation, il peut y avoir des questions, des conflits ou des mandats non résolus. Dans le travail psychothérapeutique, ces thèmes en suspens peuvent désormais être traités par le biais du lien nouvellement établi. Si les survivants et les défunts entretiennent une relation néfaste, il convient, comme pour le travail sur les conflits, de viser un travail de clarification ou de réconciliation.

Les processus de transformation du deuil et d'adieu au deuil

Avec la poursuite du travail de réalisation et les processus parallèles dans le travail relationnel, le vécu du deuil se modifie peu à peu. Si, au début, les personnes endeuillées ressentent le deuil comme envahissant, omnipotent et envahissant, il se transforme lentement au cours de la thérapie en un sentiment de nostalgie ou de désir subtil. S’il y a un lâcher-prise dans le processus de deuil, c’est le lâcher-prise du deuil et non du nouveau lien avec le proche décédé dans un lieu sûr.
Un processus de deuil réussi se caractérise vers la fin par la liberté de choix de l’endeuillé en matière de focalisation. Il peut toujours se tourner consciemment vers la perte en tant qu’événement marquant de sa vie, et ce aussi intensément qu’il en a besoin maintenant et qu’il le décide maintenant. Mais il peut aussi, en toute connaissance de cause, retirer son attention de là. De même, le survivant peut décider d’aller dans la relation intérieure, les sentiments et les souvenirs de l’être aimé ou dans le dialogue intérieur avec lui.
Enfin, l’attention portée par les survivants leur permet de choisir consciemment l’organisation de leur vie sans éprouver de sentiments de trahison ou de déloyauté envers le mort.

Mon parcours : comment et grâce à quoi j'ai surmonté le deuil ?

Très tôt, le décès de proches m’a obligée à me confronter intensément au deuil et à la perte irréparable. J’ai vécu des phases de choc, de dissociation, de refoulement, de retrait complet ou d’immense peur de nouvelles pertes.
Mais j’ai aussi développé des forces insoupçonnées qui m’ont non seulement permis de suivre une formation scolaire supérieure, mais qui m’ont aussi motivée par la suite à suivre des formations afin d’acquérir des connaissances. Par la suite, j’ai pu combiner ma vie de famille avec une carrière épanouissante à l’époque. Mais j’ai toujours remarqué qu’il y avait une douleur en moi, qui ne demandait qu’à être perçue en plus de la force créatrice. Ce n’étaient pas seulement des larmes de tristesse, c’était un mélange souvent destructeur de différentes émotions qui bouleversait ma vie affective. Il y avait de la colère, de l’incompréhension, de l’impuissance, le sentiment de ne pas pouvoir aider.
C’est ce qui m’a mis sur la voie : Apprendre et enseigner la naturopathie, l’homéopathie, la phyto-aromathérapie et aider.
« Le travail de deuil permet également de traiter des pertes anciennes. La plupart du temps, il faut alors non seulement autoriser et apprécier à nouveau les sentiments de deuil, mais souvent aussi réaliser consciemment la relation intérieure avec le défunt, clarifier les ordres cachés et finalement les intégrer dans la vie. “

Partagez cet article
Les autres articles

Coach holistique et conseillère en fleurs de Bach : mes domaines de spécialisation

Lorsque tout semble nous dépasser, nous perdons rapidement le sens de l’orientation vers ce qui est vraiment essentiel. Nous vivons au milieu d’offre infinies et de possibilités multiples, ce qui rend souvent le choix difficile. Les décisions dans la vie professionnelle et privée semblent également de plus en plus difficiles à prendre. Le surmenage au quotidien est la conséquence de toute cette offre. Les sentiments et les pensées personnels jouent un rôle central. Je les ai longuement étudiés et explorés, chez moi et chez mes clients. Certains modèles, habitudes et rôles nous influencent fortement et bloquent le véritable potentiel, l’authenticité de chacun. Or, à l’heure de la numérisation, l’authenticité est le facteur le plus important pour se sentir bien dans sa peau. L’objectif d’un conseil personnalisé est de faire ressortir cette authenticité.

Peinture et texte représentant l'état d'esprit représenté pour la fleur de Bach.Cerato, fleur de l'intuition.

Fleur de Bach Cerato : Renforcez votre intuition et votre confiance en vous

La fleur Cerato, de son nom français « Plomb chinois » ou « cicatrice de corne » ou encore de son nom latin « Ceratostigma willmottianum », fait partie du système des fleurs de Bach (les 12 guérisseurs »). Elle est fabriquée grâce à la méthode solaire. Associée à l’intuition, elle est parfaitement indiquée pour les personnes qui souffrent d’insécurité.

Femme obèse triste, semblant ne pas savoir comment s'en sortir.

Vaincre l’obésité grâce à un coaching holistique personnalisé

Dans cet article je vais vous parler de mon expérience personnelle, ou comment j’en suis arrivée à prendre du poids, quelles souffrances j’ai traversées et, surtout, comment j’ai réussi à vaincre le regard des autres, par le biais d’une approche holistique. Mon parcours en inspirera plus d’une !

Peinture et texte à propos de la fleur de Bach Centaury.

Fleur de Bach Centaury, fleur de la volonté ou du service

Découvrez les bienfaits de la fleur de Bach Centaury, l’alliée des personnes trop serviables qui ont du mal à s’affirmer. Apprenez comment cet élixir floral peut vous aider à retrouver votre force intérieure et à établir des limites saines dans vos relations.

Dessin et texte à propos de la fleur de Bach Beech.

Fleur de Bach Beech : retrouver la tolérance et l’ouverture d’esprit

La Fleur de Bach Beech (Hêtre rouge), ou Fagus Sylvatica de son nom latin, est associée à la tolérance. Elle fait partie du groupe des « deuxièmes dix-neuf » et est indiquée pour traiter les problèmes d’intolérance, d’incompréhension des autres. Les personnes ayant le problème inverse, c’est-à-dire un excès de tolérance ou d’intérêt pour l’avis des autres peuvent également trouver un équilibre avec la Fleur de Bach Beech.

error: Ce contenu est protégé.